Signature de convention entre l’ANSER et la gendarmerie : promouvoir la sécurité routière
Les locaux de l’ANSER (Agence Nationale de la Sécurité Routière) ont servi de cadre à une signature de convention entre l’Anser et la gendarmerie, le jeudi 18 juin 2020, au cours d’une cérémonie. Qui a enregistré la présence de la directrice générale de l’Anser, Mme Diadji Sacko, et du directeur général adjoint de la gendarmerie, Amadou Camara.
Pour soutenir la gendarmerie et l’encourager pour mieux prévenir les accidents de la circulation routière, faire la promotion de la circulation routière pour pouvoir sensibiliser un maximum de personnes, l’ANSER a jugé nécessaire ce contrat de partenariat, qui a toujours existé et qui vient d’être repris après une rupture. Vu la mission de sécurisation des personnes et des biens de la gendarmerie qui intervient à travers son unité de groupement autorisé du contrôle routier qui est permanent.
Selon Mme Diadji, un budget serait mis en place pour cette activité qui sera mené avec la gendarmerie pendant toute l’année. Ça sera le même cas avec la police. Pour elle, c’est l’étape d’une planification. Ainsi, un programme a été élaboré entre eux. Elle ajoute que l’Anaser cherche à promouvoir la sécurité routière et à sensibiliser les usagers de la route. Et faire la répression si nécessaire.
Quant à M. Camara, il dira que la gendarmerie est engagée dans les missions régaliennes de prévention et dans la répression si possible. La prévention est le Credo de la gendarmerie sur les axes routiers (éduquer les usagers de la route, faire en sorte qu’il y ait moins d’accident). Pour lui, avec l’Anaser, c’est la mission qui les accompagne et c’est une opportunité de les renforcer, d’aller davantage vers une efficacité et d’avoir des collaborateurs fiable et confiant.
Par la suite, M. Camara a félicité Mme Djadji, car la voir sur le terrain est un signe d’engagement et rare. Il ajoute « quand le chef est debout le subordonné ne peut plus s’asseoir, mais quand le chef se couche le subordonnée s’en dors », selon le jargon militaire. Et cet élan ne fera que renforcer leur engagement, a-t-il poursuivi.
Par ailleurs, M. Camara affirme avec assurance que pour cette convention, les fonds qui seront alloués seront utilisés à bon échéant et que les résultats seront les plus probants.
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