Transition : Yerewolo débout sur les remparts a organisé un meeting majestueux en soutien aux autorités
Accompagné par plusieurs associations, regroupements et plateformes de la société civile, Yerewolo débout sur les remparts a organisé un grand meeting ce vendredi 29 octobre 2021 à la place de l’indépendance. Pour soutenir le Président de la transition Assimi Goïtja, demander à la communauté internationale de laisser le peuple organiser des élections crédibles après avoir sécuriser le territoire national.
Le président français, Emmanuel Macron, en connivence avec la CEDEAO et quelques politiques maliens veulent faire croire au reste du monde que le président Assimi Goïta n’est pas soutenu par le peuple malien, a déclaré le leader du groupement Yerewolo débout sur les remparts, Adama Diarra dit Ben lors d’une conférence de presse. Ce meeting sera la preuve irréfutable pour montrer au monde entier que le peuple malien est avec Assimi Goïta dans toutes ses formes.
Adama Ben Diarra, le leader de Yerewolo se dit déterminé dans le soutien envers le Président Assimi Goïta. Il invite tous les jeunes maliens à se donner la main dans cette optique. Si la France ose toucher un seul cheveux d’Assimiler Goïta, elle le regrettera, previent Adama Diarra.
Siriki Kouyaté, le porte-parole de Yerewolo explique que la France entre « aide » au Mali et « aide » au terrorisme constitue le maillon essentiel des forces qui détruisent la paix au Mali par la ruse et le droit international. La France ne fait pas bonne presse dans la région par sa politique insalubre et les populations du Sahel sont aujourd’hui terrifiées par la présence de ces forces d’occupation, explique M. Kouyaté.
La rectification de la transition a permis de sauver l’essentiel et les nouvelles autorités de la transition parviennent à afficher une volonté réelle de changement, selon lui. Le peuple malien se reconnaît dans le discours officiel de l’Etat et le soutient, dit- il. Dès lors, conclut-il, nous demandons humblement aux nouvelles autorités de la transition de se défaire de l’étau des partenariats contre-productifs.
Plusieurs personnalités comme Abdoulaye Ballo de L’ALCOM, Jeamille Bittar, Mohamed Chérif Haïdara du CSDM ou encore Moussa Diarra et bien d’autres ont foulé le pupitre.
Nouhom Togo, Journaliste et homme politique a ouvert la séance sur la nécessité de la sécurité dans toutes les zones occupées au Mali. On ne pourra pas parler d’élection présidentielle dans ces conditions même après les 18 mois de la transition, explique t-il.
Kader Diarra
