Reconnaissance du mérite : NEKAMAG Golden People Night reconpense 23 personnalités
La 2è édition de la de remise de Trophées NEKAMAG Golden People Night s’est déroulée le vendredi 27 novembre 2020 à l’hôtel Salam de Bamako. 23 personnalités, identifiées comme hommes de l’année, ont été reccompensées pour leurs courages, leurs participations actives à la vie de la Nation.
Le magazine NEKAMAG est un bulletin d’informations générales et de publicité qui est dédié à l’ensemble des personnes célèbres dans différents domaines tels que la politique, le business, le sport, la société civile, l’art et la culture, la religion. Le magazine NEKAMAG incarne une jeunesse malienne entreprenante et active qui est capable de sensibiliser et d’informer leurs semblables jeunes à travers la mise en première ligne des personnalités qui apportent leurs pierres à la construction de l’édifice, Mali.
Moussa Diallo, le Directeur General de NEKAMAG explique que les récipiendaires sont des personnalités qui se positionnent comme une vitrine People leader au Mali avec une visée panafricaine et mondiale. Cette double portée s’appuie sur le fait que NEKAMAG veut toucher la diaspora malienne repartie en Afrique, en Europe et dans le monde, a-t-il ajouté.
Cette année, les trophées sont en Crystal et une forme losange fond noir avec le visuel en or personnalisé avec les noms de chaque lauréat. Ainsi 23 personnalités ont été honorées parmi les quels l’Imam Mahmoud Dicko, le musicien Salif Keita ou encore le PDG de Saer Emploi, Diadié Sankaré et d’autres piliers du changement qui ont créé des emplois, construit des mosquées ou changer des mentalités. Les récipiendaires ou leurs représentants ont exprimé les uns après les autres la joie et la fierté avec laquelle ils reçoivent les distinctions.
La jeunesse malienne est capable de travailler en vue de redorer l’image du Mali et lui réattribuer son honneur grandiose et toute sa dignité. Mais cela n’est possible que si cette jeunesse faisait confiance en elle-même et réalise que faire des erreurs n’est pas une fatalité mais c’est persister dans cette erreur qui est fatal.
Kader Diarra