Il ne se passe pas de jour où on ne lit des critiques sur les réseaux sociaux contre le gouvernement d’Ibrahim Boubacar Keita (IBK). Et ce, malgré les efforts fournis par ce dernier pour offrir un mieux-être aux populations.
Les détracteurs d’IBK continuent de tout peindre en noir réfugiés dans une certaine opposition, ils ne voient que du noir et du négatif dans les actions menées par le régime de la rupture. Ils passent le clair de leur temps sur les réseaux sociaux et par médias interposés, à déblatérer sur les bonnes actions que pose le gouvernement. Pour eux le président IBK ne va, et ne doit pas réussir son mandat. Ce faisant, ils ne se rendent pas compte que c’est au Mali qu’ils font mal. Or, le Mali est un et indivisible, et la réussite du régime du « Mali d’abord » ne fera que favoriser le développement du pays. Une opposition dans un pays comme le Mali devrait se faire remarquer par les débats d’idées, des contributions à l’amélioration des actes posés par le gouvernement, et non des débats de bas étage, qui n’avancent en rien le pays. Cette opposition devrait s’attaquer aux faits, et faire des critiques constructives. Il ne servira à rien de continuer à salir l’image du pays, afin d’empêcher les hommes d’affaires de venir y investir. La nouvelle trouvaille aujourd’hui c’est de dire que toutes les actions qui sont menées par le régime IBK sont des projets du régime défunt. Cette vue d’esprit ne reflète en rien la réalité, qui est visible et patente sur le terrain. On peut aisément en déduire que, c’est la personne du président IBK qui gêne. Sa gestion caractérisée par la rigueur et surtout dépourvue de populisme met en déroute une certaine opposition moribonde.
Un démocrate dont l’image a été écornée et salie
Malgré la calomnie dont il est victime tous les jours sur les réseaux sociaux et par médias interposés, IBK n’a jamais été animé par le sentiment de traduire qui que ce soit devant la justice, ne serait-ce pour apporter les preuves de leurs allégations. Certes, il en a pleinement le droit, comme tout citoyen, mais il préfère se consacrer à l’immense tâche à lui confiée par le peuple malien. Selon ses proches collaborateurs, il n’y pense même pas. Pour IBK, la liberté de presse est non négociable et il s’évertuera à la préserver. Par ailleurs, il est annoncé la création de journaux, non pas pour apporter de la plus-value dans le monde des médias, mais jeter du discrédit sur le régime IBK. À tout cela le chef de l’État répond par le silence. C’est une preuve qu’il est et demeure un démocrate, dont le Mali a besoin pour soigner son image qui a été salie de 2013 à 2017.
A. Diallo
Le Nouveau Réveil