Présidentielle de juillet 2018 : l’AMS-UNEEM agit pour une élection apaisée et transparente à travers Grace-Mali et lance un appel aux candidats à la retenue et à la sauvegarde de nos valeurs sociétales
Pour une élection apaisée et transparente, les membres de l’Amicale des Anciens Militants et Sympathisants de l’Union Nationale des Élèves et Étudiants du Mali (AMS-UNEEM) envisagent de s’investir comme observateurs pour l’élection présidentielle du 29 juillet 2018 à travers Grace-Mali (Groupe de Réflexion et d’Action civique).
Les Responsables de l’Amicale ont animé le jeudi 19 juillet 2018 une conférence de presse au cours de laquelle, ils ont lancé un observatoire pour les élections présidentielles du 29 juillet 2018. Principalement animée par le secrétaire général de l’Amicale, El hadji Seydou Patrice Dembélé, la conférence s’est déroulée à la Maison des aînés.
Selon le secrétaire général, El Hadji Seydou, l’AMS-UNEEN, fort de son expertise dans le cadre de l’observation et le suivi des élections, envisage de s’investir comme observateur pour les élections présidentielles du 29 juillet 2018 à travers Garce-Mali (Groupe de Réflexion et d’Action Civique).
Pour ce faire, le Groupe dispose de groupe vigile pour les élections. Il s’agit de doter le maximum de centres de vote, de nos représentants qui auront pour mission de veiller à l’apaisement du climat social avant, pendant et après les élections. Concernant les observateurs nationaux des élections, le succès des opérations dépendra de la qualité de la formation reçue par les observateurs. C’est dans cet esprit, dit-il, que l’AMS-UNEEM envisage de mobiliser des ressources humaines et financières pour la couverture des élections.
L’AMS-UNEEM a formulé des recommandations en lançant un appel à tous les candidats à la raison, à la retenue, à la sauvegarde de nos valeurs sociétales.
«Par ailleurs, évitons des écarts de langage, les propos injurieux, irrespectueux qui seraient de nature à rendre difficile le vivre ensemble, la cohabitation politique etc…», a-t-il indiqué.
« Aux journalistes, quel que soit votre choix, pensez à la déontologie du métier, vous êtes le 4ème pouvoir, une simple phrase est souvent pire qu’une bombe pour la destruction du pays », a-t-il conseillé.
Il faut signaler que 400 observateurs seront formés et déployés sur toute l’étendue du territoire pour la supervision des élections.
Drissa Kéita